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C'est un trou de verdure où passe une ( toute petite ) rivière : mon village, Confrançon. Il est discret, caché au milieu du bocage bressan, ici blotti au creux d'un hiver givré. C'est de cet angle de vue que les camions s'engouffrent dans le clocher, arrêtez-vous un instant si par un crépuscule hasardeux vous descendez la " grande montée ", le code vous l'impose d'ailleurs, au croisement de la route de Mallet et de celle de Cornaton.

Fruit de la mobilisation, des échanges et du travail croisé de nombreux spécialistes de différents domaines de l'archéologie, des musées et des sciences humaines et sociales, ce chantier et sa valorsiation font sortir de l'oubli un exceptionnel site de hauteur fortifié mérovingien des 6e-8e siècles de notre ère, que le lecteur est ici appelé à découvrir pour la première fois au travers du quotidien des femmes et des hommes qui y ont vécu et s'y sont fait inhumer après leur mort. Ce site unique, peu à peu dévoilé, est replacé dans le contexte plus large de l'Ain mérovingien, que des fouilles anciennes comme actuelles permettent désormais de mieux appréhender.

Ce documentaire propose une description des constructions typiques de la bresse savoyarde.

L'histoire des maquis de l'Ain a constamment suscité un grand intérêt de la part du public qui retient surtout de cette épopée le défilé historique des maquisards du 11 novembre 1943 à Oyonnax. Leur chef, le colonel Henri Romans-Petit occupe une place incontournable parmi les plus belles figures de la Résistance. Tous les grands événements à caractère militaire qui ont jalonné l'histoire des maquis de l'Ain, comme la bataille de Meximieux, sont connus. Les récits ou les recueils de souvenirs d'acteurs importants ou de simples combattants du maquis foisonnent, comme les monographies consacrées à des lieux symboliques de la Mémoire de la Résistance. Des opérations militaires remarquables comme le sabotage des 52 locomotives du dépôt ferroviaire d'Ambérieu-en-Bugey ont marqué durablement les esprits. En effet, l'issue de bataille du rail qui s'est jouée dans l'Ain a revêtu une importance considérable pour les Alliés. Une étude historique complète manquait pour dévoiler toutes les facettes de cette guerre secrète méconnue, tout en faisant la synthèse des faits militaires, car dans l'Ain on s'est beaucoup battu. L'auteur a consacré plus de dix ans de recherches dans le but de dévoiler les aspects les plus secrets de cette histoire des maquis de l'Ain et de leur chef. Les enjeux militaires ou politiques se sont révélés cruciaux dans ce département, à la fois pour les Alliés, les Allemands et la Résistance. Des services secrets comme le BCRA, le SOE, le SIS et l'OSS ont fait intervenir dans l'Ain leurs agents et leurs réseaux. La Dombes, la Bresse et la plaine de l'Ain ont été le théâtre de centaines de parachutages et de dizaines d'atterrissages. Les FFI de l'Ain furent les mieux armés de la région Rhône-Alpes. Cette combativité des maquis a eu un revers. Les opérations militaro-policières françaises ou allemandes, menées à la fois contre les maquisards et les populations civiles, ont été très nombreuses et firent beaucoup de victimes. Les archives allemandes et celles de l'Etat français apportent un éclairage neuf sur cette question des représailles, notamment le rôle joué par Karl Oberg et Helmut Knochen dans la rafle du 14 décembre 1943 à Nantua, comme ceux de Werner Knab et de Klaus Barbie au cours des opérations " Caporal " et " Printemps ". Enfin, ce que l'on a appelé la " Question Romans " méritait quelques éclaircissements supplémentaires, notamment au sujet de l'armement et du financement de la Résistance. Romans-Petit se trouve au coeur d'un différend opposant le général de Gaulle à ses alliés britanniques et américains. Il convenait aussi d'évoquer le rôle joué par les femmes, les médecins, les étrangers, les gendarmes et les maires dans la Résistance et le Maquis.

Exposition itinérante 1988-1989 retracant la tradition de la taille de la pierre dans l'Ain : carrières, sculpture, habitat...

En 2008, dans l'Ain, le corps de Catherine Burgod est retrouvé dans un relais de poste à Montréal-la-Cluse. L'un de ses voisins, Gérald Thomassin, est soupçonné d'être l'auteur de ce crime à l'arme blanche. Considéré comme un marginal, jeune acteur, il est relâché, faute de preuves. La journaliste, Florence Aubenas, reprend les éléments de l'enquête et analyse les témoignages, proposant un saisissant portrait de cette province.

Ce documentaire (catalogue de l'exposition proposée par le musée du Revermont entre mai et octobre 1993) retrace l'historique de l'école primaire dans les communes du Revermont au XIXème siècle.

En 1760, le seigneur de Meillonnas crée dans son château, en Revermont, près de Bourg-en-Bresse, une manufacture en fayance dont la production a joui d'un grand prestige à travers l'Europe. La faïencerie de Meillonnas a égalé la qualité des centres les plus réputés, dans ses luxueuses créations de petit feu, et dans son importante production de grand feu. Véritable livre d'art, cet ouvrage est une référence indspensable pour tous les amateurs et les collectionneurs de faïences. Fruit de six ans de recherches scientifiques, il présente, avec l'histoire de la fabrique, le répertoire complet des décors produits par Meillonnas.

Une description des espèces de plantes qui se développent dans les étangs de la Dombes

Les premiers Francs-Maçons se réunissent (peut-être dès 1759) au sein de la Loge de Saint-Jean Des Élus en 1768. La Loge vit paisiblement lorsqu’en juillet 1774, un groupe de Frères quitte la Loge, laissant les autres dans un abattement qui laissait présager l’extinction de la Loge. Ce grave problème interne fut surmonté, peut-être avec l’intervention de Lalande, même si quatre ans plus tard dans une correspondance de 1778, il est fait état d’une Loge nouvellement établie à Bourg en Bresse par le Directoire Écossais de Lyon.

Retour sur l'histoire des fruitères à Comté dans le Revermont à travers celle de Bény.

Sommaire : •Avant-propos. •Les origines. •Les seigneurs et le château. •La seigneurie et la Couz. •La vie religieuse au moyen-âge à la fin du XVIIIe siècle : la paroisse et l'église. •La vie rurale du moyen-âge à la fin du XVIIIe siècle. •L'administration du village au XVIIIE siècle. •La vie sociale : une population turbulente. •La révolution à Rignat. •La restauration religieuse au XIXe siècle. •Les grandes transformations de la commune aux XIXe et XX siècles.

Un descriptif des coutumes et modes de vie dans les villages du Revermont au moyen âge, et plus particulièrement à Treffort.

A quoi sert précisément un lavoir ? Qui l'utilisait ? A quelle période connait-il son apogée ? Y en a-t-il encore beaucoup dans l'Ain ? Autant de questions auxquelles l'ouvrage tente de répondre. La liste des lavoirs n'est pas exhaustive mais les différents exemples illustrés et documentés donnent un bel aperçu de la richesse historique, architecturale et ethnologique de ces petits édifices.